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Marie-Françoise Plissart

A world without end


  • Fotografiemuseum
  • Expo: 26/9/2008 - 4/1/2009, Fotografiemuseum Antwerpen
Deze tentoonstelling is de eerste retrospectieve van Marie-Françoise Plissart (Brussel, ° 1954). In zowat honderd foto''s en drie video''s biedt het gebeuren een selectie van 25 jaar visueel zoeken. Het toont de essentiële aspecten van de zoektocht en de ontdekkingen van een kunstenares in haar verkenning van het medium fotografie. Marie-Françoise Plissart is bij het brede publiek goed bekend van haar beelden over Brussel en haar project over Kinshasa.

ISBN 9789078487005 | E/ F/ NL | PB
€34,50
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Publisher Fotografiemuseum
ISBN 9789078487005
Publication date October 2008
Edition Paperback
Dimensions 280 x 220 mm
Pages 144
Language(s) Eng./Fr./NL ed.
Exhibition Fotografiemuseum Antwerpen
Description
Cette exposition est la première rétrospective de Marie-Françoise Plissart (Bruxelles, ° 1954). En quelque cent photographies et trois vidéos, cet événement offre une sélection de vingt-cinq ans de recherches visuelles et montre l''essentiel de la quête et des découvertes d''une artiste explorant le médium de la photographie. Bien connue du public par ses images de Bruxelles et par son projet sur la ville de Kinshasa, Marie-Françoise Plissart est une artiste dont le travail interroge diversement les frontières de la photographie. La réflexion sur les rapports entre l''image individuelle et l''image en séquence, l''exploration des possibilités de la reproduction de l''image photographique en livre, les va-et-vient entre noir et blanc et couleur, les expériences avec divers types de caméras et d''enregistrement, la confrontation entre photographie documentaire et photographie de fiction, ne sont que quelques aspects d''une recherche plus fondamentale qui pousse Marie-Françoise Plissart à dépasser les limites de la photographie traditionnelle. En rassemblant les facettes les plus variées de son travail, l''exposition démontre que cette recherche passe à la fois par un dialogue avec les genres classiques (le paysage, la photographie d''architecture, mais aussi le roman-photo et le portrait) et par le surgissement d''images irréductibles, qui excèdent les catégories connues. À cet égard, le thème du voyage est fondamental. Non par la charge d''exotisme qu''il pourrait contenir, mais par le défi permanent qu''il pose à la photographe : comment éviter l''exotisme facile, comment ne pas refaire les images déjà connues, comment faire vivre l''intensité de l''expérience qu''est la rencontre avec autrui, comment, enfin, faire de sorte que l''image produite soit une image purement photographique ? Ces images témoignent de l''intensité de ce désir de voir et de faire voir autrement. Le titre de l''exposition, « Un monde sans fin », insiste sur la continuité qui s''établit d''une image à l''autre, mais aussi d''un genre photographique et d''une époque à l''autre. Cette continuité est visible dans l''exposition, qui n''enchaîne pas les images dans un ordre chronologique mais selon les correspondances visuelles qui se tissent entre elles, aussi bien que dans le livre du même titre qui accompagne l''exposition, et qui en offre à la fois un élargissement et une réinterprétation. Le jeu entre exposition et publication est comme une leçon de choses qui montre ce que Marie-Françoise Plissart entend par cette dynamique de l''image qui la conduit sans cesse vers de nouvelles aventures.

Works in A World Without End range from her atmospheric and enigmatic photo novel Right of Inspection, via her resonant portraits of Kinshasa and its people, to her most recent work, including Brussels, China and the Trans-Siberian express. Plissart, who has had a varied career (including a spell as a taxi driver - and this special insight to Brussels by night is reflected in her work), is known as a very open and approachable woman, both considered and relaxed. Her work reflects this as it explores the possibilities of documentary reportage and fiction, the natural and the architectural, colour and black and white. She is also a bit of a formal innovator, with dizzying birds'' eye shots from tall buildings, which give a new perspective on Brussels, not to mention Kinshasa. The massive composite grid with the street life of Congo''s capital in the foreground, sweeping back to panoramic views of the city is a highlight. Favourites from A World Without End are the masterfully lit images of disused industrial buildings that render them as mysterious as cathedrals, and landscapes shot through grids of factory windows. One cannot fail to be impressed by her vertigo-inducing self portrait, balancing a heavy, large-format camera on the ledge of a skyscraper while buffeted by the wind. Photography as adrenaline sport?